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Minna No Supaplanet !
2 mai 2007

Soutenus !

Alors voilà, on sait tous que Royal et Sarkozy ont chacun un soutien politique étranger connu ... Hugo Chavez pour l'une ... Berlusconi pour l'autre ...

Alors jvous ai préparé un petit briefing !! Voilà les affaires judiciaires de chacun des soutiens !

Ca vient de Wikipédia hein ! C'est pour ca qu'y a plein de bleu et de liens partout !! Commencons ca par le ... meilleur XD ... Li Pasta Berluscoooni !

Ses affaires judiciaires [modifier]

Silvio Berlusconi a été poursuivi dans près de dix affaires pour corruption, fraude fiscale, faux en bilan ou financement illicite de parti politique. Il a plusieurs fois été condamné en première instance mais a toujours été relaxé en appel ou a bénéficié de la prescription.

Loge P2 [modifier]

Silvio Berlusconi a été membre de la loge Propaganda Due. Dans l'affaire Propaganda Due, il a été condamné pour parjure pour avoir nié son appartenance mais il a depuis bénéficié de prescription grâce à une de ses lois taillées sur mesure.

Affaire SME [modifier]

Dans l'affaire judiciaire dite SME du nom d’un groupe italien agro-alimentaire semi-public racheté à un prix avantageux, Sylvio Berlusconi aurait versé des sommes particulièrement importantes de son compte personnel de la Fininvest sur celui du juge italien chargé de cette affaire, à travers le compte en Suisse de son avocat, Cesare Previti. Sylvio Berlusconi aurait ainsi soudoyé des juges pour bloquer la vente de SME à la société italienne Buitoni appartenant à l'industriel Carlo De Benedetti[4].

En décembre 2004, il a été relaxé mais son avocat Cesare Previti est condamné à 5 ans de prison ferme et le juge corrompu à 7 ans[réf. nécessaire].

Cette loi a été amendée pour les procès en cours en raison de la pression d'une partie de la majorité actuelle. Le Parlement italien vient de voter une loi qui ne prévoit pas l’exécution de la prison pour les condamnés de plus de 70 ans. Cesare Previti vient de fêter son 70e anniversaire.

En novembre 2006, la Cour de cassation italienne a annulé la peine de Cesare Previti pour incompétence territoriale[4]. Son procès a alors été renvoyé devant le tribunal de Pérouse.

Le 16 février 2007, la Cour de cassation italienne a estimé que Silvio Berlusconi devait être rejugé pour cette affaire.

En mars 2007 le procureur Piero De Petris avait requis une peine de cinq ans d'emprisonnement contre Sylvio Berlusconi[5] mais le 27 avril 2007, une cour d'appel milanaise a acquitté Silvio Berlusconi dans l'affaire SME, maintenant l'acquittement prononcé en première instance en 2004. Une loi adoptée par son gouvernement stipulait qu'il ne pouvait pas être rejugé, mais celle-ci a été déclarée contraire à la constitution en 2006, donnant aux procureurs l'occasion d'un jugement en appel.[6]

Collusion mafieuse ? [modifier]

Un de ses bras droits, le sénateur Marcello Dell'Utri a été condamné le 11 décembre 2004, en première instance, à neuf ans de prison pour corruption mafieuse.

En mars 2005, sa probité est de nouveau mise en doute, en tant que suborneur d’actes judiciaires. Selon les procureurs Alfredo Robledo et Fabio De Pasquale, via sa société Fininvest, il aurait versé 600.000 dollars en 1997 à l’avocat britannique David Mills (époux de Tessa Jowell alors ministre de la Culture britannique), en échange de faux témoignages et de la destruction de documents lors de deux procès intentés contre lui en 1997 et 1998 (affaire dite du rachat des droits télévision de Mediaset).

Déjà inculpé du faux en bilan et fraude fiscale dans cette affaire, sa situation serait aggravée par cette subornation de témoin. L’enquête devait se terminer le 23 mars, mais sera sans doute prolongée de six mois par le juge aux enquêtes préliminaires. Silvio Berlusconi a été cité à comparaître début décembre par le parquet de Milan : il ne s'est pas rendu à cette convocation.

L’avocat britannique aurait déclaré aux procureurs : « Mi auguro sarà chiaro che i miei rapporti con il gruppo Fininvest erano strettamente professionali, che ogni somma da me ricevuta è pienamente giustificata e che non si può certo dire che io sia mai stato addomesticato o 'comperato' » (j'espère qu'il sera clair que mes rapports avec le groupe Fininvest étaient strictement professionnels, que chaque somme que j'ai perçue est entièrement justifiée et qu'il est impossible de dire que j'ai été apprivoisé ou 'acheté'). David Mills, il faut le rappeler, avant d’être placé sous enquête pour cette affaire, avait déjà témoigné lors de trois procès à Berlusconi : All Iberian, Guardia di Finanza et Sme (lors d’une audience qui s’est tenue à Londres).

Le 10 mars 2006, le Parquet de Milan réclame la tenue d'un procès contre Silvio Berlusconi dans l' affaire de corruption présumée impliquant également l'époux de la ministre de la Culture britannique. Berlusconi est poursuivi pour « corruption en actes judiciaires ». Il est soupçonné d'avoir versé 600 000 dollars à l'avocat d'affaires britannique David Mills en échange de faux témoignages et de destruction de documents lors de deux procès intentés contre lui en 1997 et 1998. Cette annonce tombe au plus mal pour le président du Conseil italien à un mois des élections législatives des 9 et 10 avril, qu'il perd face à l'Union de la gauche [cf plus haut].

Le 30 octobre 2006, le juge des audiences préliminaires de Milan, Fabio Paparella, l'a renvoyé, ainsi que son avocat le Britannique David Mills, devant la justice pour corruption en matière d'actes judiciaires. Le juge reproche à David Mills d'avoir fait plusieurs faux témoignages en faveur de Silvio Berlusconi lors de deux procès impliquant la Fininvest.

Affaire Mediaset [modifier]

Le parquet de Milan a demandé, le 26 avril 2005, le renvoi de Silvio Berlusconi et de douze autres personnes dans une affaire de droits de retransmission concernant Mediaset, son groupe de télévision.

Silvio Berlusconi, qui contrôle le groupe Mediaset à travers sa holding Fininvest, est accusé de faux en bilan, fraude fiscale et abus de biens sociaux, dans le cadre d'une enquête judiciaire qui a débuté en juin 2001. Le président du groupe Mediaset, Fedele Confalonieri, ami de longue date de M. Berlusconi fait partie des personnes pour lesquelles un renvoi a été demandé, au terme d'une enquête conduite par les juges d'instruction Alfredo Robledo et Fabio De Pasquale.

Berlusconi avait été inscrit dans le registre des personnes mises sous enquête (équivalent italien de la mise en examen) le 19 février 2003. Les magistrats estiment que Mediaset a artificiellement gonflé, à travers des sociétés écrans off-shore, les prix d'achat des droits de diffusion de films américains.

Grâce à ces opérations, le groupe appartenant à Silvio Berlusconi aurait réussi à constituer des caisses noires à l'étranger et à réduire en Italie les bénéfices de Mediaset afin de payer moins d'impôts. Entre 1994 et 1995, juste avant son introduction en bourse, la société aurait ainsi gonflé de 171 millions de dollars le prix des films acquis aux États-Unis.

Les droits de retransmissions des films et programmes télévision étaient acquis aux États-Unis par deux sociétés écrans. Marina et Piersilvio Berlusconi, les deux enfants aînés de Silvio Berlusconi qui occupent des postes de direction à Fininvest et Mediaset, ont également été impliqués dans cette enquête mais leur dossier a été disjoint du reste de l'instruction. Mediaset s'est toujours défendu d'avoir fraudé, soulignant à diverses reprises, que « les droits cinématographiques ont été acquis aux prix du marché ».

Affaire Telecinco [modifier]

En 1997, la justice espagnole s'intéressait à une affaire de fraude fiscale liée à la chaîne de télévision espagnole Telecinco. Silvio Berlusconi est soupçonné d'avoir couvert une fraude de l'ordre de 108 millions d'euros entre 1990 et 1993 alors qu'il était vice-président de la société Gestevision détentrice de Telecinco. En septembre 2006, Silvio Berlusconi ayant perdu son immunité parlementaire suite à sa défaite de aux élections législatives d'avril 2005, le juge espagnol Balthazar Garzon a rouvert l'enquête.

Voilà ... voila pour Sarkozy ... non non je n'emettrai aucun jugement de valeur XD !!! Passons à Royal, soutenue par Hugo Chavez !

Hmmm ... ben en fait, en rapport avec la justice, j'ai trouvé que ca :

Accusation de dérives autoritaires [modifier]

Chávez a menacé les membres des Forces armées en disant que ceux qui n'approuvaient pas la politique du Président n'y avaient pas leur place, bien que l'armée soit, d'après la Constitution Bolivarienne, au service de la nation, et non à celui d'un individu ou d'un projet politique[2].

Les entreprises privées ayant des relations contractuelles avec le gouvernement sont invitées à se passer des services de ces personnes. Le logiciel Maisanta permet d'identifier rapidement les opposants de Chávez grâce à leur numéro de carte d'identité[3].

Le 4 septembre 2006, Hugo Chávez a annoncé l'organisation en 2010 d'un référendum qui permettrait de modifier la constitution afin d'abolir toute limite du nombre de mandats pouvant être effectués par un président. Cette proposition a été interprétée dans certains médias (Le Monde[4], le journal de 20h de TF1 du 3 décembre 2006[5], Challenges[6]) comme l'organisation d'une présidence à vie. Le président en titre serait pourtant toujours régulièrement soumis à l'épreuve du suffrage universel. Dans de nombreux pays - comme la France - aucune limite de mandat n'existe.

Le 18 janvier 2007, le parlement vénézuélien lui accorde des pouvoirs élargis pour une durée de dix-huit mois, en votant une loi l'autorisant à légiférer par décrets[7].

Accusations de corruption [modifier]

Le journal Le Monde dans son édition du 1er janvier 2007[8] dénonce la corruption du régime en particulier grâce aux pétrodollars. Selon Le Monde, Hugo Chavez a multiplié les structures destinés à "syphonner" les ressources de Petroleos de Venezuela et les réserves de la banque centrale. Citant un diplomate , le quotidien donne l'exemple du Fonden "Fonds de développement national, un objet financier non identifié, un OFNI, une grosse tirelire dont l'usage dépend exclusivement du président de la République et du ministre des finances". Ces fonds ont des recettes de 22 Milliards $ contre 60 pour le reste du budget. Selon Eleazar Diaz Rangel, directeur du quotidien Ultimas Noticias, favorable à Chavez, "Un organisme comme le Fonden stimule la corruption". La branche locale de Transparency International avance également que "Le Venezuela se trouvait parmi les pays les plus corrompus d'Amérique latine, au même titre que le Paraguay, le Nicaragua ou le Panama et que désormais, le baromètre de la corruption de Transparency International le situe au sommet du classement régional, juste après Haïti." L'ancien parlementaire Felipe Mujica affirme que Chavez "dispose de manière discrétionnaire des ressources de PDVSA, dont il a fait sa caisse noire. Les réserves de la Banque centrale ont été arbitrairement plafonnées à 30 milliards de dollars, l'excédent de 7 à 10 milliards de dollars étant mis à la disposition du président de la République."

Voilà !! Vous noterez le nombre de phrases en rouge chez Berlusconi ( qui soutient Sarkozy ... je le rappelle au cas où ... ) et celles en rouge chez Chavez ( qui est pour Royal hein ... )... voilavoilavoila ....*sifflote*

Plus tard je ferai la même chose vis à vis de leurs actions économiques et sociales, histoire qu'on soit bien tous d'accord ...

...

SARKO EST UN FACHO ! SARKO EST UN FACHO ! SARKO EST UN FACHO !! XD

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Commentaires
L
ta raisonnnnn mais malheureusement le destin a décidé que pendant 5 ans on ora une france de MERdE alors:<br /> pitié faite qu'il soit pô réeluuuuuu
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